Lisbonne fut une échappée belle entre brise et velours. L’hôtel, lové dans le quartier d’Alfama près du Panthéon et des quais du Tage, épouse l’histoire ferroviaire avec raffinement. Le personnel, aux petits soins, veille avec délicatesse. À l’accueil, boissons offertes, attention sincère ; au restaurant, les saveurs s’épanouissent et le petit-déjeuner enchante, avec œufs au plat et symphonie de boissons chaudes.
La chambre, paisible, offre une vue sur le fleuve — promesse d’un sommeil profond. Seule la climatisation trop vive trouble légèrement la sérénité. Les longs couloirs, ponctués de doubles portes, prolongent le rêve comme des portails vers d’autres mondes.
La météo, complice, nous a épargné la fournaise et les pluies. Lisbonne s’offre en douceurs, entre dépaysement et familiarité ; ses habitants vivent leur paradis avec fierté silencieuse. Transports fluides : bus, métro, train. Pour la voiture, privilégiez l’aéroport et pensez au permis physique — sous peine de désagrément.
Un séjour gravé comme un murmure étoilé.